|
|
La sombre silhouette de sa forteresse semble se découper comme une ombre maléfique sur un paysage dévasté. Pourtant, nul monstre, nul mort vivant, nul sorcier, rien qu’une timide colonne d’hommes et de femmes, l’armée de la dernière chance... Gonzague de Vilmer lève la tête. Un frisson lui parcourt l’échine en apercevant son objectif car dans quelques instants maintenant, ils lanceront leurs grappins sans un bruit pour pénétrer dans la forteresse. Plus personne alors ne sera en mesure de les aider. |